Troubles de l’érection : on en parle

Eric Allaire chirurgien spécialisé dans la chirurgie de l'impuissance

Troubles de l’érection : on en parle

Troubles de l’érection : on en parle

Troubles de l’érection : on en parle dans le numéro 24,de  Santé Info . Pourtant l’impuissance est encore trop souvent tabou malgré le nombre important de couples qui en souffrent . C’est pourquoi la grande majorité des hommes concernés consulte peu. Pourtant il existe aujourd’hui des solutions thérapeutiques efficaces. Dans son livre: Le  Guide de l’Impatient, le professeur Eric Allaire explique clairement les mécanismes des dysfonctions érectiles, leurs causes, leur évolution et leurs  traitements. C’est un premier pas pour sortir du silence et commencer a se soigner.

Les troubles de l’érection: on en parle. Oui, on en parle de plus en plus. Mais est-ce-que l’on en parle suffisamment? La réponse est non si l’on en croit les témoignages des patients qui sont reçus au CETI. Le professeur Eric Allaire, le docteur Ronald Virag, le Docteur Hélène Sussman ou les autres spécialistes du centre entendent régulièrement les patients se plaindre de la difficulté à trouver de l’information sur la question. Le sujet de l’impuissance est encore tabou. Que ce soit dans les médias ou par les médecins.  Les médias parlent encore très timidement du sujet. Pourtant plus de 10% des hommes, tous âges confondus, sont concernés en France.

 

Troubles de l’érection et information

Chaque article de presse, chaque émission télé ou radio permet à plus d’hommes d’avoir accès à l’information. Grâce à cette informations, ils pourront être soignés, si ils le souhaitent.

Les médecins sont souvent trop peu formés aux maladies de l’érection. C’est pourquoi, nous avons créé un Diplôme Universitaire (DU)  » à La Sorbonne, à Paris. Ce diplôme forme de jeunes médecins et chirurgiens à la prise en charge des troubles de l’érection.

Donc les choses avancent. Les troubles de l’érection, on en parle de plus en plus. C’est comme cela que l’on pourra traiter de plus en plus d’hommes. Le combat est à mener sur plusieurs fronts: les médias, les réseaux sociaux, les professionnels de santé. Ainsi l’information continuera à devienir accessible au plus grand nombre.